Tout ceci nécessite de remettre le travail au centre de la production de richesses et de leur redistribution. En reconnaissant l’utilité sociale et écologique du travail, on contribue à la démocratisation de l’entreprise, et à la dé-marchandisation du travail.
C’est par ce biais que les politiques de lutte contre les exclusions et d’insertion par l’activité économique pourront prendre leurs pleines mesures, et offrir à chaque citoyen de nos territoires la possibilité d’exercer son droit fondamental au travail.
Cela passe aussi par la reconnaissance de l’importance du bénévolat. En complémentarité avec le travail rémunéré, il contribue au bien-être de chacun.